2015. november 13., péntek

Les transports publics de Budapest

Le tramway de Budapest s'étend en un réseau de 32 lignes structurant l'essentiel de l'offre de transports en commun de la capitale. Les lignes 4 et 6 parcourent quasiment le même trajet le long du grand boulevard circulaire sur Buda et Pest (Szent István-, Teréz-, Erzsébet-, József- et Ferenckörút). Terminus commun des deux lignes, la station : Moszkva Tér constitue d'ailleurs le principal pôle multimodal de Budapest (métroautobus,tramway). De cette station située au pied du quartier du Château de Buda, les lignes traversent une première fois le Danube à hauteur du pont Marguerite, parcourent Pest puis retraversent le fleuve par le pont Petőfi. C'est la ligne la plus utilisée[réf. nécessaire] à Budapest car elle dessert les principaux points d'intérêt touristiques et économiques (vieille ville de Buda, centre-ville de Pest). Cette ligne relie surtout toutes les lignes de métro, deux ligne de train suburbain sur quatre, ainsi que les principales lignes d'autobus et de trolleybus.
Les lignes marquées A ou B suivent un trajet plus court ou avec une bifurcation minime en terminus.
Le réseau d'autobus de Budapest permet une desserte fine des quartiers en complément des réseaux sur fer. Il est organisé d'une part en un réseau de plus de 500 lignes gérées par la BKV Zrt., dont le maillage concerne essentiellement la ville-centre et l'agglomération et un autre réseau géré par la société Volánbusz qui assure des liaisons régulières avec les municipalités du comitat de Pest.
Budapest comporte des moyens de transports en commun adaptés au relief accidenté de Buda. Pour relier les rives du Danube au Château de Buda, un funiculaire (Budavári Sikló) effectue des liaisons très régulières à la manière d'un ascenseur à balancier le long d'une pente d'une centaine de mètre extrêmement abrupte. Inauguré en 1870, le funiculaire à vapeur servait de transport public aux employés de l'administration qui travaillaient au Château. Rénové en 1986, il fonctionne aujourd'hui à l'électricité.
Les transports en commun les noeuds de la capitale sur les meilleurs Appartements à Budapest.
Afin d'accéder aux collines de Buda, un train à crémaillère (Fogaskerekű60) géré par la BKV Zrt. fait la liaison entre les abords de la station : Moszkva tér et la Széchenyi-hegy, d'où part le Gyermekvasút. Ligne 7 de laMagyar Államvasutak, il a la particularité d'être entièrement géré par des enfants (autrefois par les pionniers, mouvement de jeunesse communiste, d'où son ancien nom « Train des pionniers » : Úttörővasút). La station ferroviaire : János-hegy permet enfin de rejoindre le téléphérique de Budapest : le Libegő.
Pour traverser le Danube ou effectuer des trajets Nord-Sud, la BKV Zrt met également à disposition des usagers un système de navettes fluviales opérant des liaisons régulières entre plusieurs embarcadères de la capitale.
La ville propose enfin des modes de déplacement individuels alternatifs à la voiture, en développant notamment les pistes cyclables.
Si vous souhaitez explorer la ville en utilisant le guide audio.

2015. augusztus 4., kedd

Hősök tere

La place des Héros (Hősök tere en hongrois) est l'une des places principales de Budapest, capitale de la Hongrie. Elle se trouve au bout de l'avenue Andrássy, entre le Dózsa György út et le Hungária Körút, près du parc municipal.

La place des Héros et l'avenue Andrássy ont été inscrites au patrimoine mondial par l'UNESCO.

Deux bâtiments importants entourent la place : le Musée des Beaux Arts (Szépmüvészeti Muzeum) à gauche et le Palais des Arts à droite.

De l'autre côté, la place des Héros fait face à l'avenue Andrassy dont deux bâtiments son sur la place. Un de ces bâtiments est résidentiel et l'autre est l'ambassade de la Serbie (ancienne ambassade yougoslave où Imre Nagy se réfugia en 1956).

Derrière la place se trouve le parc municipal (Városliget) avec notamment le jardin zoologique (Allatkert) et un restaurant. Dans le parce se trouvent le musée des Transports et le fort Vajdahunyad.

Au centre de la place des Héros se trouve le Monument du Millénaire construit pour célébrer le millénaire de la Hongrie. Le monument fut construit de 1896 à 1922 et est composé d'une galerie de colonnades en demi-cercle. Au centre se trouvent les statues de sept rois magyars.

En demi-cercle se trouvent des statues représentant une série de célèbres Hongrois ayant influencé l'histoire du pays. L'ensemble est couronné d'une imposante colonne de 45 m de hauteur avec l'archange Gabriel au sommet. Sur la place figure également le monument aux morts de la guerre de la libération de 1848-1849 et une statue équestre du Roi Árpád entouré de compagnons d'armes.

Le demi-cercle représente les principaux rois de Hongrie, notamment Étienne Ier de Hongrie, Géza, Géza Ier de Hongrie, Coloman de Hongrie, Géza II de Hongrie, Béla Ier de Hongrie, Béla II de Hongrie, André Ier de Hongrie, André II de Hongrie, André III de Hongrie, Charles Robert de Hongrie, Louis Ier de Hongrie, Sigismund du Luxembourg, Jean Hunyadi Matthias Corvin, Vladislav II de Hongrie, Louis II de Hongrie, Ferdinand de Habsbourg, Ferenc Rákóczy II, les combatants de la libération Lajos Kossuth, Tancsics, Dózsa György etc...

Au centre de l'imposante place se trouve le monument funéraire de Imre Nagy, héros et martyre de la liberté, assassiné en 1956 par les Russes et enterré dans un lieu secret. Son corps fut retrouvé dans les bois des environs de Budapest. Le 16 juin 1989 son corps fut inhumé dans le monument funéraire de la place des Héros en présence d'une foule de 250 000 personnes. Le monument funéraire est gardé en permanence par des sentinelles militaires.

La place des Héros est également le nom d'une station de la ligne M1 du métro de Budapest.

2013. március 15., péntek

La Bataille de Budapest


Le siège de Budapest se réfère aux prises de contrôle de l'Union soviétique de la capitale hongroise de Budapest vers la fin de la Seconde Guerre mondiale en Europe. Une partie de la plus large offensive Budapest, le siège a commencé lorsque Budapest, défendue par des troupes hongroises et allemandes, a été encerclée le 29 Décembre 1944 par l'Armée rouge et l'armée roumaine. Le siège a pris fin lorsque la ville se rendit sans condition le 13 Février 1945. Ce fut une victoire décisive pour les Alliés dans leur poussée vers Berlin.

Situation générale

En 1944, la Hongrie est devenue un satellite de l'Allemagne ne veut pas. En Mars 1944, la Hongrie a tenté d'arrêter la guerre, et a été vu par l'Allemagne nazie comme peu enclins à prendre des mesures suffisantes contre les Juifs. L'Allemagne avait besoin des puits de pétrole hongrois situés autour du lac Balaton. Le 19 Mars, les Allemands ont lancé l'opération Margarethe et leurs forces armées (Wehrmacht) est entré en Hongrie. Le régent hongrois, l'amiral Miklós Horthy, mis tentatives de la Hongrie pour arrêter la guerre en attente.
En Octobre 1944, Horthy a été pris négocier la paix avec les Alliés. Les Allemands ont lancé l'opération Panzerfaust (à l'initiative de garder la Hongrie aux côtés de l'Allemagne), le 16 Octobre et forcé d'abdiquer Horthy. Horthy et son gouvernement ont été remplacés par "Hungarist" Szálasi Ferenc, de l'extrême-droite Parti national-socialiste des Croix fléchées.

La lutte contre les forces

Les assiégeants soviétiques faisaient partie du 2e Malinovsky Rodion du front ukrainien. Formations qui ont effectivement pris part aux combats semblent avoir compris l'Armée 53e, 7e Armée gardes, des parties de la 3e front d'Ukraine, y compris l'Armée 46e et la 7e Armée roumaine Corps. [4]
Parée contre les Soviétiques était une collection de l'armée allemande (Heer), les Waffen-SS, et armée hongroise (Honvédség) forces. Le siège de Budapest a été l'une des plus sanglantes campagnes de la Seconde Guerre mondiale.

2012. március 22., csütörtök

Histoire courte de Budapest

S'il existait dès le paléolithique des implantations humaines aux environs de la ville actuelle, l'histoire connue de Budapest remonte à la cité romaine d’Aquincum, fondée aux alentours de 89 sur le site d'un ancien campement de Celtes Eravi, où un rétrécissement du Danube facilite son franchissement, et proche de ce qui allait devenir Óbuda. De 106 jusqu'à la fin du ive siècle, la cité est la capitale de la province de la Pannonie inférieure (en latin Pannonia) avant de tomber aux mains des Huns et d'Attila, puis de leurs successeurs, les Goths et les Lombards. Aux environs de l'an 600, et pendant trois siècles, la région est dominée par les Avars.

Venus de l'Oural, les ancêtres des hongrois, les Magyars, conduits par le prince Árpád dont la dynastie régnera jusqu'au xiiie siècle, atteignent le bassin des Carpates en 896 et viennent peupler le secteur d'Óbuda. La nation hongroise est fondée un siècle plus tard, en l'an 1000, avec le couronnement de son premier roi, Étienne Ier, qui se convertit au catholicisme et sera canonisé sous le nom de saint Etienne. Malgré la destruction presque totale de la ville, suite à une invasion mongole en 1241, Béla IV rompt avec la dynastie des Árpád qui avaient dirigé leur royaume depuis d'autres cités, et installe la capital à Buda en 1247 où il fait construire un château. La ville ne commence toutefois à se développer réellement qu'avec l'arrivée sur le trône des princes angevins. Après le déplacement de la résidence royale à Visegrád en 1308, la ville devient la capitale du pays en 1361. Sigismond de Luxembourg introduit le style gothique à Buda où, à l'instar du palais d'été de Visegrád, le Palais royal connaît une importante reconstruction. La ville atteint son âge d'or au xve siècle pendant le règne de Mathias Corvin, dont l'épouse Béatrice de Naples, fait de la Hongrie un des foyers actifs de la Renaissance. Siège du Parlement à partir de 1298, Pest, sur l'autre rive du fleuve, affirme sa vocation commerçante.

Après la défaite de Mohács, la conquête de la majeure partie du pays au xvie siècle par l'Empire ottoman brise le dynamisme des deux citées pendant près de 150 ans. En 1526, Pest tombe aux mains de l'envahisseur par le sud. Buda, défendue par son château, connaît le même sort 15 ans plus tard. Alors que Buda devient le siège d'un gouverneur turc, Pest est désertée par une grande partie de ses habitants lors de sa reconquête en 1686 par l'armée impériale menée par Charles V de Lorraine. Les Habsbourg étaient restés rois de Hongrie depuis 1526, malgré la perte de la majorité du pays.

Au cours des xviie et xviiie siècles, malgré le Grand Incendie de 1723 et une inondation dévastatrice en 1838 qui fit 70 000 morts, Pest connaît un fort taux de croissance grâce à un commerce très actif, contribuant très majoritairement à la croissance combinée des trois villes. L’université de Nagyszombat (aujourd'hui, Université Loránd Eötvös), transférée à Buda en 1777 puis à Pest en 1784, joua un rôle important dans l'essor des deux cités. La reconstruction de Buda, Pest et Óbuda ne commence vraiment que pendant la deuxième moitié du xviiie siècle ; l'impératrice Marie-Thérèse et l'archiduc Joseph (le gouverneur de l'empereur), contribuent à cette modernisation, mais la lenteur des réformes entraîne un soulèvement nationaliste en 1848. La fusion des trois villes sous une administration commune prend effet une première fois en 1849, année de l'ouverture du Széchenyi Lánchíd, sous l'impulsion du gouvernement révolutionnaire, avant d'être révoquée suite à la reconstitution de l'autorité des Habsbourg. Francois-Joseph Ier écrase la révolte mais se voit contraint en 1867 de signer un compromis qui autorise les habitants de la Hongrie à former leur propre gouvernement. La fusion des trois villes est entérinée définitivement en 1873 par le gouvernement royal autonome hongrois issu de ce même compromis et donne naissance à une véritable capitale en réunissant Buda, Pest et Óbuda.

En 1900, la population de Pest dépasse celles de Buda et Óbuda réunies. Au cours du siècle suivant, la population de Pest sera multipliée par vingt, alors que celles de Buda et d'Óbuda seront quintuplées. La population totale de la capitale unifiée est multipliée par sept sur la période 1840–1900, atteignant 730 000 habitants.

Au cours du xxe siècle, la plupart des industries du pays venant se concentrer dans la ville, la croissance de la population se poursuit, touchant principalement l'agglomération. Ainsi, la population de Újpest est plus que doublée sur la période 1890–1910, et celle de Kispest est quintuplée entre 1900 et 1920. Les pertes humaines liées à la Première Guerre mondiale, et la perte de plus des deux tiers du territoire de l'ancien royaume en 1920, ne causent qu'un trouble temporaire : Budapest demeure la capitale d'un État certes plus petit mais désormais souverain. En 1930, la ville compte un million d'habitants, plus 400 000 en agglomération.

Le désir de reconquérir les territoires perdus poussent la Hongrie à soutenir l'Allemagne nazie. Lors de la Seconde Guerre mondiale, les juifs sont rassemblés dans le ghetto de Budapest. Environ un tiers des 250 000 habitants juifs de Budapest meurent suite au génocide nazi perpétré pendant l'occupation allemande de 1944. Entre décembre 1944 et la fin de janvier 1945 dans des razzias nocturnes, les miliciens du Parti des Croix fléchées arrêtent les Juifs dans le ghetto ainsi que les déserteurs de l'armée hongroise ou ennemis politiques, les exécutent le long des rives du Danube et jettent les corps dans le fleuve. Une plaque commémorative a été posée le 16 avril 2005 en bordure du fleuve où des chaussures appartenant aux victimes sont fleuries.

Malgré cela, Budapest est aujourd'hui la capitale européenne qui a le ratio de citoyens juifs par habitant le plus élevé. En 1944, le diplomate suédois Raoul Wallenberg a sauvé au moins 10 000 juifs hongrois.
Budapest subit de graves dommages en 1945 lors de sa libération par l'armée rouge qui en profite pour installer un pouvoir communiste. À la fin de la guerre, la vieille ville fut reconstruite pierre par pierre. Budapest avait été presque entièrement détruite par les bombardements : 74 % des habitations et 97 % des usines avaient été ravagées. Au 1er janvier 1950, l'agglomération de Budapest connaît une expansion significative : de nouveaux arrondissements sont créés à partir des villes voisines. Durant les années 1950 et 1960, la ville se remet du siège soviétique de 1944, devenant, dans certaines limites, une vitrine de la politique pragmatique pratiquée par le gouvernement communiste du pays (1947-1989). La démocratisation est stoppée par l'insurrection de Budapest en 1956 et l'intervention militaire de l'Union soviétique qui, selon les chiffres officiels publiés par le gouvernement après la chute du communisme, a fait 20 000 victimes dans la population civile, et entraîné l'exil de 160 000 citoyens hongrois.

À partir des années 1980, Budapest, tout comme l'ensemble du pays, connaît une émigration croissante couplée à une décroissance naturelle de sa population. En 1989, suite à des manifestations répétées, le pouvoir communiste tombe, laissant place à une démocratie parlementaire.

2011. február 21., hétfő

Formalités d'entrée, Heures d'ouverture

Formalités d'entrée

Pour les ressortissants français la carte d'identité valide ou le passeport
valide sont nécessaires. Pour toutes autres renseignements vous pouvez
contacter le Consulat de Hongrie au 01 43 54 66 96 ou au 01 56 81 02 30. Les
automobilistes sont tenus d'être munis de la carte d'assurance
internationale.

Heures d'ouverture

La plupart des commerces d'alimentation sont ouverts de 6 h du jusqu'à 19 h,
les centres de commerce de 10 h à 21 h et les magasins en ville entre 10 h
et 18 h ( le samedi jusqu'à 13 h ). Les plus petits magasins sont souvent
ouverts plus tard, certains même 24/24. Les grands surfaces, les centres de
commerce et les principales voies commerçantes sont aussi ouverts le
dimanche. Les musées sont ouverts (sauf le lundi) de 10 h à 18 h, les postes
de 8 h à 18 h (le samedi jusqu'à 13 h), les banques les jours de la semaine
de 9 h à 16 h. Budapest